Schasslamitt

couv-schasslamitt

« Mon grand-oncle, ulcéré, mit en branle avec une force décuplée son manège masticatoire et notre tante sa tête d’âne.
Au regard de la quinzaine qu’on venait de s’enfiler, c’en était trop. »

Albertine, Léocadie, Ciboulette, Huriana, Schasslamitt & co…

Inspirée par l’amour des noms étranges et des êtres chers, Bérengère Cournut trace des miniatures, des portraits, de petites vies, où l’exceptionnel vient se nicher dans l’anodin. Il ne sert à rien de résumer ces histoires. Juste dire qu’elles sont frappées au coin de l’étrange et du quotidien. Lisez-les à haute voix, elles vous transformeront en oie.

Récits français de Bérengère Cournut
17 pochoirs de Donatien Mary
96 pages – 978291-7084-465 – 9,99 €


Correctrice dans la presse et dans l’édition, un temps secrétaire du traducteur Pierre Leyris (sans parler trois mot d’anglais), lectrice de Michaux et d’Artaud, Bérengère Cournut a jusqu’ici publié des textes courts en revues ; Nanoushkaïa, à l’Oie de cravan ; L’écorcobaliseur, et une adaptation d’un roman portugnol, Palabres, aux éditions Attila.

donatien-mary
Frais émoulu de la spartiate formation de Dégé aux Arts Décoratifs de Strasbourg, Donatien Mary développe des projets peuplés de marins et de comètes, parmi lesquels une bande-dessinée en taille douce dont il écrit actuellement le scénario. Membre fondateur du collectif Troglodyte (http://www.troglodyte.eu/), il fait paraître dans Lapin un feuilleton co-écrit et dessiné avec Sophie Dutertre. Il a publié Le fantôme de Karl Marx (éd. les petits Platons) et un sublime travail en linogravure, Les derniers Dinosaures, aux éditions 2024.

« Schasslamitt vient de paraître aux éditions Attila. Ne l’ai point encore lu mais ça ne saurait tarder. Ma patience s’use vite. Je ne me suis toujours pas remis – m’en remettrai probablement jamais et c’est un coup sur… la coloquinte qui fait du bien – de L’écorcobaliseur ! Une grande, très grande écrivain – pas vaine du tout. J’ai bien écrit une grande, très grande écrivain. Qu’on se la lise ! »
Guy Darol

« Des prénoms, et des histoires. Beaucoup de liberté dans ces personnages croqués avec autant de rapidité que de précision. Beaucoup de rires. »
Marie Richeux, « Pas la peine de crier », France Culture

« Un petit livre de minuscules contes surréalistes, loufoques. Pour rêver, sourire, se déporter vers l’impossible et les ressources incompressibles de la psyché. Tout bon ! »
Le Devoir

« Un talent d’écriture exceptionnel… Bérengère Cournut a le sens de la magie et de l’invention. »
Nikola Deslescluze, Paludes

 
 

El Pierò

Gasper Opakochka

La chute de Nadine

Schasslamitt

Thaddeus

Plume-toi d’là