La femme qui ressuscite


« Elle ne parlera pas. Il y a des jours trop longs. Alors qu’on l’attend elle se dérobe. Sans nom, libre, elle part indéfiniment habiter la vie des autres »

Février 1919. Une jeune fille se réveille dans le lit d’une clinique de Berlin, amnésique, après s’être jetée dans le fleuve. Le mystère autour de son identité commence, en même temps qu’une des plus grandes énigmes du XXe siècle.

Est-ce Anastasia Romanov, la dernière survivante du clan Romanov épargnée par les bolcheviks… ou l’ambitieuse petite paysanne schwab de Pologne qui réussira toute sa vie à donner le change auprès des familles impériales de la planète en se faisant passer pour la défunte princesse ?

L’héroïne reconstruit sa mémoire et son identité… mais sont-ce bien les siennes ?

Sans jamais prendre parti ni donner les clés, Nadia Oswald donne vie à cette réincarnation mentale et physique. Premier roman servi par une langue prodigieuse, baroque et poétique, La Femme qui ressuscite fait revivre un mystère, un double portraits de femme, et un esprit que le trouble de l’inconnu mènera jusqu’aux limites de la folie.

Outre la saga des Romanov, le livre nous plonge aussi dans la fin de l’empire des Tsars, le Berlin de l’après-première guerre mondiale, la diaspora Russe nostalgique
de l’époque impériale, l’Amérique des années folles et l’exubérance artistique des années 20…

La Femme qui ressuscite
Roman français
978-2-37100-006-3 – 176 pages – 17€
Sortie le 13 avril 2018

 

Nadia Oswald naît en 1991 à Ajaccio. Arrière petite fille d’un capitaine d’industrie alsacien, petite fille d’un scribe marocain, elle grandit en haute Savoie, face au Mont Blanc, puis habite successivement à Borgo, Sartène, Corte, Coventry, Rennes et Paris et écrit particulièrement en voyage, en Angleterre et en Italie. Diplômée de littérature anglaise et de journalisme, elle est totalement bilingue, et écrit ses textes à la fois en anglais et en français. Formée littérairement au Comte de Monte Cristo, elle admire Jean Genet, Oscar Wilde, et Virginia Woolf.